1. Des réglementations respectées

Les équipes DMF s’engagent à se conformer à toutes les règlementations, qu’elles concernent les centres de vacances, la protection des mineurs, ou tout autre sujet de portée plus générale (ex : interdiction de fumer dans les lieux publics, code de la route, etc.).
DMF en exige également l’application de ses prestataires dans le cadre des activités que ceux-ci organisent pour lui.

A l’étranger, ce sont les lois locales, ainsi que la présente Charte, qui sont appliquées.

2. Un encadrement optimal en quantité et en qualité

DMF propose principalement des séjours offrant un taux d’encadrement très supérieur à celui exigé par la réglementation française :

  – 1 encadrant pour 5 jeunes sur les séjours 6-10 ans (contre 1 animateur pour 12 jeunes dans la réglementation)

  – 1 encadrant pour 6 jeunes sur les séjours 10-17 ans (contre 1 animateur pour 12 jeunes dans la réglementation)

La totalité des animateurs effectuant un séjour DMF est rencontrée et validée par l’équipe du siège. Tous les animateurs passent un entretien préalable avec le directeur du séjour.

Le casier judiciaire de tous les intervenants (directeurs, animateurs, cuisiniers, personnel de service) est contrôlé par DMF et / ou par notre autorité de tutelle, la Direction Départementale de la Cohésion Sociale du Val de Marne.

Le directeur du séjour constitue son équipe en s’assurant que les animateurs possèdent une qualification adaptée au thème du séjour (niveau de formation générale, diplômes universitaires, diplômes musical, passion, …).

Le “projet pédagogique” rédigé par le directeur de chaque séjour est systématiquement relu et validé par le siège, qui vérifie notamment sa concordance avec la réglementation, le Projet Educatif de DMF et la présente Charte.

3. Des centres de vacances adaptés

DMF n’accueille les jeunes que dans des centres disposant, d’un agrément de la Direction Départementale de la Cohésion Sociale (DDCS) et d’une autorisation d’ouverture valable au premier jour du séjour. 

Le directeur a pour mission d’organiser la sécurité des locaux de façon à prendre en compte les risques d’incendie, d’intrusion et de fugue. Les chambres des animateurs sont, à chaque fois que c’est possible, placées à chacun des étages où se trouvent des chambres occupées par des jeunes et à proximité immédiate des voies d’accès. 

Dans toute la mesure du possible, ce sont les jeunes qui constituent eux-mêmes les chambrées, dans le respect des contraintes rappelées par l’équipe d’animation : non-mixité la nuit et pas d’écart d’âge de plus de 2 ans.

4. Des transports sûrs

Pour nous rendre sur le lieu de déroulement ou de commencement du séjour, DMF privilégie les modes de transports les plus sûrs : le train. 

Les “Chefs de Convoi” (animateurs responsables d’un transport en train) doivent obligatoirement suivre une formation interne validante.

Pour les déplacements pendant le séjour :

Nous privilégions l’utilisation d’autocars privés.

Pour se rendre sur certaines activités, nous utilisons des minibus conduits par des animateurs-conducteurs. ils doivent avoir au moins 21 ans, posséder le permis de conduire (en cours de validité) depuis au moins 2 ans, et suivre une formation interne complémentaire à  la conduite de tels véhicules.

Les animateurs exigent des jeunes le port de la ceinture de sécurité quelle que soit la longueur du trajet. Le refus obstiné d’un jeune de mettre sa ceinture est un motif de renvoi du séjour.

Les transports en commun locaux, et à l’étranger les bus de lignes, peuvent être également utilisés. L’équipe d’animation veille alors à préserver un niveau raisonnable de confort et de sûreté. 

Le transport de jeunes en voiture est exceptionnel. S’il est nécessaire (pour amener un enfant chez le médecin par  exemple), il est obligatoirement assuré par une personne ayant au moins 21 ans et possédant le permis de conduire (en cours de validité) depuis au moins 2 ans. Naturellement, le strict respect du Code de la Route est exigé.

5. La santé protégée

Dans chaque équipe d’animation, un responsable est nommé pour assurer le suivi médical des enfants. Conformément à la  règlementation, il est titulaire du diplôme de “Prévention et Secours Civiques de Niveau 1” (PSC1) ou équivalent ; il doit  également obligatoirement suivre une formation interne validante.

Toute épidémie survenant sur un séjour est déclarée à la DDCS et fait l’objet d’une information aux familles via le site Internet du séjour.

En cas de problème sanitaire, des mesures préventives touchant les jeunes non atteints peuvent éventuellement être prises (ex. : shampooing anti-poux).

Si l’état de santé d’un jeune a nécessité l’intervention du corps médical, la famille est systématiquement informée.

Aucun médicament n’est délivré sans une ordonnance ou un avis médical (même les médicaments sans prescription  médicale, ex : Doliprane).

Les indications données lors de l’inscription, relatives aux allergies sévères, handicaps ou problèmes de santé sérieux, sont  soigneusement étudiées avant le séjour, afin de permettre d’accueillir le jeune dans les meilleures conditions de sécurité  pour sa santé, et de prendre d’éventuelles mesures par anticipation.

Les informations communiquées par les parents dans la “fiche sanitaire” sont couvertes par le secret médical.

Les jeunes sont incités par les animateurs à se nourrir de façon suffisante et équilibrée, et si possible à goûter à tout.  Cependant, aucune contrainte n’est exercée pour forcer un jeune à manger un aliment donné. Si, durablement, un jeune  refusait de s’alimenter suffisamment, nous serions contraints d’interrompre son séjour.

Les régimes (ex : sans porc, végétarien,…) et les allergies alimentaires sont pris en compte et peuvent être gérés dans la  plupart des cas. Il est toutefois impératif de nous informer préalablement lors de l’inscription. Les centres DMF ne servent  pas de cuisine casher ou hallal.

6. Alcool, tabac et drogues interdits

Les jeunes ne sont pas autorisés à consommer de boisson alcoolisée (quelle que soit sa catégorie) durant le séjour. Il leur est de plus strictement interdit d’introduire de l’alcool sur le séjour. Les moins de 16 ans ne sont pas autorisés à se rendre dans un débit de boisson sans être accompagnés d’un animateur.

Voici nos règles concernant le tabac (les mêmes règles s’appliquent pour la cigarette électronique) :

  • Pour les – de 14 ans, le tabac est totalement interdit. Cette interdiction est étendue aux enfants âgés de 15 ans et participant à un séjour 10/15 ans.
  • Pour les + de 14 ans, la consommation de tabac est strictement encadrée, limitée et découragée.
    Elle est tolérée uniquement de la part des jeunes qui se déclarent fumeurs au début du séjour. Le directeur du séjour est susceptible de vérifier auprès des parents.

    L’équipe d’animation met en place un “coin fumeur” où seuls les fumeurs ont le droit d’aller.

    Il est interdit à un jeune fumeur de donner une cigarette à un jeune non-fumeur comme il est interdit au non-fumeur d'aller au « coin fumeur ».

La drogue est formellement interdite. Pour tout cas de possession ou de consommation de drogue, les parents seront informés, ainsi qu’éventuellement les autorités compétentes (police ou gendarmerie). Le directeur peut également décider le renvoi immédiat du jeune, son rapatriement étant alors entièrement à la charge de la famille, y compris pour les séjours à l’étranger.

7. Des activités sportives bien encadrées

Pour chaque activité sportive confiée à un prestataire, DMF met en place un cahier des charges précis et en exige l’application par le prestataire.

Quand la règlementation prévoit une qualification spécifique (brevet d’état par ex.), le membre de l’équipe d’animation accompagnant les jeunes exige la présentation du diplôme par la personne encadrant effectivement l’activité. A l’étranger, s’il existe un diplôme équivalent, il est également exigé.

Quand les conditions météorologiques peuvent être un facteur de risque (fortes pluies + sports d’eau vive, mauvais temps et activités nautiques à la mer…), le directeur, ou le membre de l’équipe d’animation accompagnant les jeunes, est incité à recueillir l’avis d’une autorité distincte du prestataire (bureau des guides, pompiers, mairie…). En cas de risque, l’activité est annulée ou reportée.

8. Une gestion des petits conflits et des grosse bêtises

Le respect de soi-même, des autres et du matériel commun est une valeur fondamentale des séjours DMF. En cas de petits conflits entre jeunes, leur résolution est facilitée par une présence et par une écoute attentive des jeunes par les équipes d’animation. Celles-ci sont sensibilisées à intervenir rapidement et mettre fin, le cas échéant, à une situation de non respect de l’autre.

S’il faut infliger une sanction à un jeune, elle ne vise pas à le punir mais à le faire grandir.

Elle est donc proportionnée à la faute et doit consister si possible à réparer les conséquences de la faute commise.
La sanction ne peut avoir pour objectif de priver le jeune d’un élément du séjour (dessert, visite, activité sportive, atelier). Une telle privation peut toutefois intervenir en tant que conséquence, s’il est nécessaire d’isoler le jeune fautif du groupe pour lui laisser le temps de se calmer et de réfléchir.
Dans les cas graves, si le directeur estime que le comportement d’un jeune nuit fortement au bon déroulement du séjour et au bien-être des autres enfants, il peut décider de l’exclure.
La faute dont l’auteur est inconnu ne peut en aucun cas entraîner une sanction collective (notamment une privation d’activité prévue dans le programme du séjour), mais peut nécessiter une modification temporaire des règles de vie du séjour.

L’accès aux sites web pornographiques et d’incitation à la violence est interdit sur les séjours.

7. Des activités sportives bien encadrées

Le respect de soi-même, des autres et du matériel commun est une valeur fondamentale des séjours DMF. En cas de petits conflits entre jeunes, leur résolution est facilitée par une présence et par une écoute attentive des jeunes par les équipes d’animation. Celles-ci sont sensibilisées à intervenir rapidement et mettre fin, le cas échéant, à une situation de non respect de l’autre.

S’il faut infliger une sanction à un jeune, elle ne vise pas à le punir mais à le faire grandir.

  • Elle est donc proportionnée à la faute et doit consister si possible à réparer les conséquences de la faute commise.
  • La sanction ne peut avoir pour objectif de priver le jeune d’un élément du séjour (dessert, visite, activité sportive, atelier). Une telle privation peut toutefois intervenir en tant que conséquence, s’il est nécessaire d’isoler le jeune fautif du groupe pour lui laisser le temps de se calmer et de réfléchir.
  • Dans les cas graves, si le directeur estime que le comportement d’un jeune nuit fortement au bon déroulement du séjour et au bien-être des autres enfants, il peut décider de l’exclure.

La faute dont l’auteur est inconnu ne peut en aucun cas entraîner une sanction collective (notamment une privation d’activité prévue dans le programme du séjour), mais peut nécessiter une modification temporaire des règles de vie du séjour.

L’accès aux sites web pornographiques et d’incitation à la violence est interdit sur les séjours.

9. Des équipes d’animation au comportement responsable

Les membres de l’équipe d’animation ne fument pas en présence des jeunes. Il leur est interdit de procurer du tabac à un jeune. Naturellement, il leur est strictement interdit d’être en possession de drogue ou d’en consommer, toute transgression de cette interdiction entraînant automatiquement l’exclusion immédiate du séjour et le signalement aux autorités.

Les membres de l’équipe d’animation devant prendre le volant sont soumis à une interdiction totale de consommation d’alcool.

DMF est une organisation apolitique qui prône le respect de la diversité des croyances. Les membres de l’équipe d’animation s’interdisent rigoureusement tout prosélytisme politique, idéologique ou religieux.

Une attention aiguë est portée à la prévention de tout comportement pédophile : action de sensibilisation des équipes, vérification du casier judiciaire (cf. 2), organisation des séjours limitant le plus possible les occasions pour un animateur de se trouver seul en présence d’un seul jeune (interdiction au moment des douches, interdiction – pour les séjours se déroulant sur des centres fixes – de dormir dans les mêmes chambres que les jeunes, etc.). Le taux d’encadrement élevé (impliquant notamment une vigilance interne accrue) et la consigne d’alerte du siège au moindre comportement suspect, sont par ailleurs de nature à limiter ce risque.

10. Des séjours suivis, soutenus, contrôlés et analysés

Le siège de DMF assure un contrôle du déroulement des séjours et l’assistance des équipes d’animation.

La totalité des incidents et dysfonctionnements est tracée durant les séjours. Les incidents sérieux sont étudiés de façon  collégiale pour prendre la meilleure décision possible. Ils font l’objet, en fin de saison, d’une seconde analyse à froid pour améliorer les pratiques futures.

Les parents des enfants ayant participé à nos séjours, ainsi que les directeurs, animateurs, et cuisiniers sont invités à  répondre à des questionnaires de satisfaction, qui font l’objet d’analyses statistiques approfondies nous permettant d’améliorer nos pratiques après chaque saison.

11. Une communication facilitée avec les familles

Le premier jour du séjour, si votre enfant voyage avec DMF, vous recevez un SMS de bonne arrivée dès que nous avons confirmation de l’arrivée des jeunes sur le centre.

Les jeunes sont autorisés à emporter leurs téléphones portables sur le séjour. Ceux-ci doivent cependant n’être utilisés que durant les temps libres (c’est-à-dire généralement hors temps consacré aux activités et aux repas) et en journée uniquement. En cas d’utilisation non conforme à ces règles, le téléphone peut être confisqué pour une durée limitée.

Suite à la disparition des cabines téléphoniques, DMF met, sur chacun de ses centres en France, un téléphone portable à disposition des enfants pour qu’ils puissent joindre gratuitement leurs parents. Les animateurs aident les plus jeunes si nécessaire. NB : toutefois, les enfants ne sont jamais contraints à vous appeler.

Sur les séjours se déroulant en France, les e-mails envoyés par les familles sont transmis aux jeunes qui sont invités (mais non contraints) à y répondre (sous réserve de la présence d’une salle informatique avec accès à Internet sur le centre).

Les familles disposent d’un numéro de téléphone :

Celui du directeur du séjour dans la grande majorité des cas.

Service “Blog du séjour” pour les séjours des plus jeunes :

Un espace web dédié est mis en place, sur lequel des photos illustrant le déroulement du séjour sont mises en ligne (photos des moments phares de la journée du groupe : ateliers, activités, jeux, repas, veillées, etc.).

Ces blogs ont pour vocation de présenter une ambiance générale du séjour au quotidien. Il n’est pas toujours possible de photographier tous les enfants du groupe sur une journée, mais nous essayons de faire en sorte que chacun apparaisse plusieurs fois pendant le séjour.

L’actualisation est tous les 2 jours (avec des photos prises la veille) pour les séjours se déroulant en France. Elle commence au plus tard le soir du 2ème jour et se poursuit jusqu’à la veille du dernier jour.

12. Une transparence assurée

En cas de difficulté sérieuse avec un ou des jeune(s), DMF (le siège et/ou l'équipe d'animation) garantir aux familles concernées une information transparente, sincère et rapide.

Dans les cas – exceptionnels – de manquements graves, de la part de membres de nos équipes d’animation, mettant en cause la sécurité ou le bien-être des jeunes, DMF informe systématiquement son autorité de tutelle, la DDCS du Val de Marne, habilitée à prendre les mesures appropriées.

Toute réclamation écrite fait l’objet d’une enquête approfondie et d’une réponse écrite dans les 30 jours. En cas de litige ou de problème grave, celui-ci est traité par le Directeur Technique de DMF.

Souvenirs des séjours

24 rue de l'ormeraie 

94360 BRY-SUR-MARNE

CONTACT

07 82 40 50 75

contact@s811901020.onlinehome.fr